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olivier rey - Page 2

  • La revue de presse d'un esprit libre... (52)

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    La revue de presse de Pierre Bérard

    Au sommaire :

    • Dans l’émission de Thomas HennetierLe libre journal de la Nouvelle Droite (sur Radio Courtoisie),  il s'entretient successivement avec Alain de Benoist pour son livre  L’homme qui n’avait pas de père. Le dossier Jésus, (édition Krisis), David L’Épée rédacteur en chef de la revue Krisis, pour son dernier numéro consacré à l’amour, puis Baptiste Rappin pour son ouvrage Abcédaire de la déconstruction (éditions Ovadia), on peut lire dans le dernier numéro de Nouvelle Ecole l’excellent article que ce dernier a consacré au philosophe Pierre Legendre sous le titre « Quand Pierre Legendre rencontre Martin Heidegger »  :

     
    Dans un long entretien avec Martial Bild (principal animateur de la Tv-libertés) Patrick Buisson déroule le point central de son dernier livre La fin d’un monde. Pour lui les « quinze piteuses » se déroulent entre 1960 et 1975, période charnière qui fabrique l’homme nouveau ou l’homo economicus c’est à dire l’homme érigé en simple consommateur. C’est d'après lui le premier Grand Remplacement, celui qui annonce tous les autres. Ce qui le caractérise c’est qu'il n’implique aucune population étrangère. La mort qui était depuis des dizaines de milliers d’années un événement spirituel se transforme en simple accident biologique. Fin de l’homme religieux, attaché à un sacré quel qu’il soit. Assomption de l’individu que plus rien ne dépasse. C’est une révolution anthropologique majeure. 1965 c’est aussi la fin du concile de Vatican II et l'effondrement de la pratique religieuse ainsi que le début de ce que l’historien Pierre Chaunu a appelé « La peste blanche » à savoir l’effondrement des naissances en France et en Europe. Une fois liquidé le rituel pagano-chrétien qui irrigua l’âme du pays durant des siècles au profit d’une nouvelle foi intellectualisée et finalement abstraite en lieu et place de l’incarnation qui la caractérisait jusqu’alors. Buisson explique qu'elle a chassé tous les catholiques par tradition sociologique et familiale hors de l’Église. Partant de ce fait majeur il justifie le rejet par les cultures étrangères demeurées dans l’orbite du sacré le refus de s’adapter en France à un mode de vie qui n’est plus surplombé par une quelconque référence à ce qui peut dépasser l’individu devenu créateur de lui-même. C’est ainsi que le nihilisme occidental devenu notre lot commun depuis une cinquantaine d’années justifierait à ses yeux la sécession d’un islam conquérant. Il illustre cela en proclamant de manière caricaturale sa préférence pour le voile islamique plutôt que pour la femme en string ignorant visiblement qu’au moyen âge européen, par exemple, les femmes se rendaient nues avec les hommes aux bains publics sans que pourtant on ne puisse invoquer la moindre présence « occidentale » à une période aussi précoce. Je me demande si le christianisme qu’il prend pour modèle n’est pas celui, pudibond, de la contre-réforme catholique ou de l’Angleterre victorienne ?
     
     
    Long entretien de Livre Noir avec Éric Zemmour dans lequel il dessine les grandes lignes d’un programme politique. L’un des plus célèbres essayiste et journaliste de France s’y dévoile en racontant ses origines juives et bérbères, la tradition assimilationniste dans laquelle il a vécu, mais à laquelle il ne croit plus. Les différences insurmontables entre l’islam et le catholicisme. Il revient également sur ce qu’il faut entendre par laïcité. La grande histoire dont il est passionné depuis son jeune âge et qui n’inspire plus les politiciens contemporains alors qu’elle devrait être leur code. Zemmour toujours habile dans ses mots sera-t-il bientôt au coeur de l’action ? Question urgente dit-il puisque personne ne propose de solutions à son diagnostic. Sans doute n’a-t-il jamais été aussi explicite sur ses intentions. Reste à savoir si il dispose de l’argent, des équipes, des réseaux etc pour les mener à bien : 
     
     
    L’éolien du rêve à la réalité. Recueillant près de 80% d’opinions favorable, les éoliennes sont devenues ces dernières années les symboles de la transition énergétique. L’envers du décor est bien plus sombre. L’installation des éoliennes en France et en Europe repose sur une quadruple escroquerie. Ecologique notamment pour la bonne raison qu’elles ne peuvent fonctionner que 25%  du temps et que lorsqu’elles fonctionnent c’est de 20% à 30% de leur puissance installée. Leur intermittence implique qu’elles soient couplées à des centrales au gaz rejetant du CO2 à effets de serre. La base d’une éolienne comporte 1500 tonnes de béton et de ferraille, le mat de 300 tonnes d’acier nécessite plus de 200 tonnes de charbon (générateur de CO2) pour sa fabrication et un transport couteux quand il vient de loin, les pales contiennent 2 à 3 tonnes de terres rares venues de Chine, ce qui aggrave notre dépendance et 90 tonnes de matériaux composites non recyclables, raison pour laquelle on les enterre après 20 ou 25 ans d’usage. La charge de la dépollution de leur immense base en béton reste à la charge des propriétaires des lieux, généralement de petites communes rurales sans le sou. On comprend dés lors l’arnaque qu’elles représentent sans compter le souci du paysage qu’elles détériorent. Il est vrai qu’elles sont toujours implantées à la campagne dans le rural profond qui n’est pas la préoccupation majeure des écolos urbains où se recrute une large majorité de leurs thuriféraires. Même les champions allemands de l’éolien commencent à reculer devant ce gouffre financier inefficace, c’est dire :
     
     
    Remarquable texte d’Hervé Juvin sur l’écologie différentielle des peuples. Il y déclare notamment « J’ai dénoncé la supercherie d’une écologie hors sol, globaliste, déraciné. J’ai affirmé que la diversité des cultures et des conceptions de la vie était notre assurance de survie ; nous survivrons parce que les hommes ne sont pas les mêmes, ne désirent pas les mêmes choses, et ne veulent pas tous devenir des Californiens comme les autres » :
     
     
    •  Les druides, prêtres des peuples celtes. Dans ce documentaire qui commence par une séquence folklorique sur le druidisme contemporain la parole est donnée à des archéologues irlandais, allemands et français. On ne sait pas grand chose d’eux puisque ils n’ont laissé que de rares sources écrites. Bien que sachant écrire en grec ou en latin ils faisait davantage confiance à la mémoire pour la transmission des savoirs. Depuis une trentaine d’années notre connaissance à leur propos s’est considérablement étoffée grâce aux nombreux chantiers de fouilles réalisés de la Pologne à l’Irlande. Émission d’Arte : 
     
     
    La revue Nouvelle École vient de faire paraître un numéro en quadrichromie consacré à l'écrivain J.R.R. Tolkien qui du Silmarillon au Seigneur des anneaux a créé un monde de « féérie » (faërie). Cette parution est un somme magnifiquement illustrée pour tous les adeptes de l’imaginaire de Tolkien. Première référence, les différents articles du numéro. Seconde référence, une brève critique d’Éric Garnier pour le site de l’Iliade :
     
     
    Excellente émission d’I-Média du jeudi 3 juin. Un décryptage des médias opéré par Jean-Yves Le Gallou et Nicolas Faure qui montre comment la presse de propagande occulte certains faits et en majore d’autres, toujours dans le même but : délivrer à jet continu les leçons de l’Empire du Bien contre une réalité qui se montre de plus en plus rétive à ses diktats :
     
    Intervention d’Alain de Benoist au colloque de l’Iliade, Institut pour la longue mémoire, tenu le samedi 29 mai. Son exposé s’intitule « Le libéralisme contre les peuples » :
     
     
    Au cours de ce même colloque avait lieu une table ronde sur le thème Décroissance et puissance sont-elles compatibles ? Elle réunissait Pascal Gauchon, normalien, agrégé d’histoire et ancien directeur de la collection Major aux PUF ainsi que de la revue ConflitsOlivier Rey, polytechnicien et philosophe et enfin François Bousquet, rédacteur en chef de la revue Éléments. À première vue il n’est pas possible de concilier la puissance avec la décroissance comme le suggère le deuxième principe de la thermodynamique, la recherche d’une puissance toujours accrue nous conduit droit dans le mur d’un effondrement généralisé de la société industrielle selon la logique qui veut qu’une croissance infinie soit impossible dans un monde fini aux ressources rares et en déplétion. Et pourtant dans le monde concurrentiel aucune nation n’acceptera de décroitre volontairement puisque cela signifierait pour elle un déclassement qui en ferait la proie de ses concurrents. Question globalement indécidable selon Rey et Bousquet qui émettent cependant l’hypothèse d’une croissance encouragée de nos moyens de défense (et de la technologie qui va avec) et d’une décroissance du reste de nos activités. Hypothèse qui laisse de marbre Gauchon qui donne dans l’optimisme technologique en imaginant que les techniciens trouveront les moyens d’échapper à cet horizon bouché :
     
     
    Martial Bild (Tv-Libertés) reçoit Michel Geoffroy pour son opuscule intitulé Immigration de masse - L’assimilation impossible. Au cours de l’émission celui-ci, énarque et ancien haut fonctionnaire, membre de la Fondation Polémia, développe toute un batterie d’arguments à l’appui de sa thèse et appelle les peuples européens à tirer au plus vite les conséquences de ce fait inédit afin de relever le défi civilisationnel que cette immigration de masse nous lance :
     
     
    Remarquable entretien avec le philosophe Vincent Coussedière réalisé par Charlotte D’ornellas pour l’hebdomadaire Valeurs Actuelles. Pour rendre compte des immenses problèmes que pose l’archipel des communautés en France Coussedière remonte à l’origine c’est à dire à l’édification des sociétés modernes basées sur l’individu. Il en examine la longue dérive depuis les Lumières jusque à Jean-Paul Sartre dont il fait d’une certaine manière le père de l’identitarisme contemporain. Il distingue la « communauté musulmane » détentrice d’une véritable civilisation des autre communautés inventées récemment comme celles des végans, des lgbt+ ou de celle des féministes etc qui ne sont pas des communautés au sens propre puisqu’elles ne se définissent que par un seul trait particulier. Elles sont très pauvres en terme de signification alors que l’islam se définit par une multitude des traits identitaires qui en font un autre monde que celui qui a défini l’Europe jusqu’à présent. Il s’inquiète également de la non assimilation des jeunes européens à un quelconque modèle. L’assimilation se faisant par les lois de l’imitation définies par le sociologue Gabriel Tarde
    C’est parce que nous ne sommes plus capables de poursuivre des buts communs que surgit la question de l’identité définie comme une essence qui supplée à l’absence de buts politiques. Raison pour laquelle nous cherchons dans une identité phantasmée le but de notre action. Afin de remédier à l’absence de projets dans laquelle nous sommes plongés, Coussedière suggère de recourir au passé européen dans lequel nous pourrions puiser de nombreuses ressources. Cela implique un autre rapport au passé que celui induit par le progressisme culpabilisateur et des élites politiques qui n’incarnent plus rien de tout, à commencer par le modèle de la civilisation française. Il faut, dit-il, retrouver le vrai sens de la politique qui est la païdeia, une éducation pouvant fournir un modèle que le peuple souhaite imiter. Nous en sommes hélas fort éloignés
     
     
    Le site d’Éléments propose dans une vidéo de 80 minutes le portrait d’Olivier Rey, un penseur brillant, lucide et bien entendu très original qui a le double avantage de mêler sa formation de polytechnicien à une culture de philosophie. Il est connu essentiellement pour son livre Une question de taille, une réflexion sur la loi d’airain du nombre. c’est à dire que les dimensions quantitatives à partir d’un certain moment-seuil posent des questions qualitatives qu’ont tendance à occulter des philosophes qui se déplacent uniquement dans les abstractions. À partir du moment où né une science mathématique de la nature, dit Olivier Rey qui se donne comme idéal la mesure Au total une réflexion très intéressante dans laquelle les politiques devraient se plonger. Il est interrogé ici par François Bousquet :   
     
     
    Dans une nouvelle vidéo Ego Non se penche avec perspicacité sur un des premiers textes politiques de Charles Maurras Trois idées politiques, Chateaubriand, Michelet, Sainte-Beuve, à partir duquel ce dernier renvoie dos à dos le sentimentalisme romantique et passéiste de la droite et le sentimentalisme progressiste de la gauche en proposant des solutions de dépassement de cette dialectique infernale. Ce livre très bref (une cinquantaine de pages) constitue une ébauche de l’oeuvre à venir en même temps qu’un appel à l’action contre les naufrageurs et amis du désastre qui résonne de façon très contemporaine :
     
     
    Guillaume Travers dévoile un peu de sa personnalité dans cette interview donnée à la chaîne des conservateurs européens, The Conservative Enthusiast. Il en ressort que Travers est comme il le dit lui même « un gros travailleur » et qu’il sortira dans les mois qui viennent plusieurs ouvrages dont il nous livre l’ébauche. Localiste et écologiste, il déplore la colonisation de celle-ci par des mouvements d’extrême gauche qui en dénaturent le sens; toute écologie affirme-t-il est nécessairement enracinée comme tous les écosystèmes sont évidemment particuliers. Se montrant assez rebelle à la notion de conservatisme il préfère se dire « révolutionnaire-conservateur » et regarder vers l’avenir pour y incarner sous des formes nouvelles des valeurs fondatrices et donc éternelles. Enfin il déplore l’effacement contemporain de l’Europe comme civilisation et entend y mettre un terme avec tous ceux qu’il encourage à partager les finalités de son action. Pour compléter cette présentation on peut lire dans la dernière livraison d’Éléments l’article très instructif qu’il a consacré à la politique catastrophique du sol  entreprise en France depuis quelques décennies :
     
     
    Marine Le Pen vient de reconnaitre qu’une fois élue elle ne toucherait pas au Conseil d’État ni au Conseil Constitutionnel et que la France continuera de reconnaitre les arrêt de la Cour Européenne des Droits de l’Homme c’est à dire que nous ferons droit aux instances qui ont transformé notre pays et l’ensemble de l’Europe de l’ouest en un vaste 
    caravansérail diversitaire de populations désunies et potentiellement affrontées. Mettre fin à la participation française aux organismes judiciaires de l’Union européenne ou du Conseil de l’Europe n’est-elle pas la moindre des exigences pour qui prétend gouverner souverainement ? Autant dire qu’elle ne pourra, ou ne voudra pas réaliser l’essentiel de son programme à savoir l’arrêt de l’immigration-invasion qui implique pour le moins une profonde réforme de ces vaches sacrées que révère toute la nomenklatura de Bruxelles. Comment y parvenir ? Par le recours au referendum. Comme disait de Gaulle : « En France la Cour Suprême c’est le peuple ». 
     
    Nathalie Heinich, sociologue au CNRS, interrogée au micro de France Inter par Patrick Cohen (l’homme du service public qui fait des listes d’indésirables) défend un point de vue académique à l’écart, croit-elle, de tout engagement « politique ». Il me semble que son engagement pour une science neutre dégagée de tout a-priori axiologique est tout à fait illusoire face à la déferlante « woke » qui s’abat sur l’université. Face à ce wokisme militant, il faudrait une brillante contre-offensive dont on ne voit pas le moindre début de commencement :
     
     
    Maxime Tandonnet qui fut conseiller de Sarkozy aux questions d’immigration avec le succès que l’on sait pose ici la question d’un éventuel Front républicain face à l’avancée dans les sondages de Marine Le Pen :
     
     
     Nicolas Gauthier. Pour avoir parlé avec ÉlémentsHubert Védrine est crucifié par la gauche morale en fonction de l’axiome bien connu de l’homme qui a vu l’ours malfaisant, qui a vu l’ours et ainsi de suite. Mais quand en finira-on avec cet étouffant magistère moral ? : 
     
     
    Réponse de Bernard Lugan aux vaticinations de l’extrême gauche française qui entend régler ses comptes avec François Mitterrand et contre l’action qui fut celle de la France au Rwanda. Il approuve totalement les propos tenus par Hubert Védrine dans le dernier numéro d'Éléments. Rappelons que Lugan est un historien de l’Afrique, spécialiste reconnu du pays des mille collines. Il a écrit deux livres fort documentés sur la genèse et l’histoire du génocide des Tutsis, le premier, Rwanda, un génocide en questions, le second, Dix ans d’expertise devant le Tribunal pénal international pour le Rwanda. Il sait donc de quoi il parle, raison pour laquelle il n’est jamais interviewé par les médias de grand chemin :
     
     
    Aristide Leucate vient de faire paraitre un essai sur les rapports de l’extrême gauche contemporaine avec la pensée de Carl Schmitt dont elle s’est partiellement entichée. Son livre très intéressant s’intitule Carl Schmitt et la gauche radicale. Une autre figure de l’ennemi (éditions de La Nouvelle librairie). Il est ici interrogé par le site breton Breizh -info:
     
     
    Recension du livre d’Henri Levavasseur L’identité, socle de la cité par Aristide Leucate sur Boulevard Voltaire :
     
     
    À propos de son dernier livre Paris-Moscou, aller simple contre le féminisme, un entretien avec Yannick Jaffré  sur le site de stratpol par Xavier Moreau. Jaffré est professeur agrégé de philosophie :
     
     
    Yannick Jaffré récidive sur le site d’Éléments où il est interrogé à propos de son livre paru aux éditions de La Nouvelle Librairie par François Bousquet :
     
     
    Magnifique illustration des Bobards d’or 2021, l’équipe de France de foot-ball va ployer ce soir le genoux afin de protester contre le soi-disant racisme systémique anti-noirs de la police américaine. Le site de Polèmia propose ici de revenir à la réalité vraie :
     
     
     
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  • Olivier Rey, un penseur de taille...

    Dans « Les portraits d’Éléments », vous pouvez découvrir ce mois-ci un entretien avec le philosophe et mathématicien Olivier Rey. Chercheur au CNRS et enseignant en faculté, Olivier Rey est l'auteur de plusieurs essais comme Une folle solitude - Le fantasme de l'homme auto-construit (Seuil, 2006), Une question de taille (Stock, 2014), Quand le monde s'est fait nombre (Stock, 2016), Leurre et malheur du transhumanisme (Desclée de Brouwer, 2018) ou dernièrement L'idolâtrie de la vie (Gallimard, 2020).

     

                                              

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  • Le rap, triomphe des demeurés ?...

    Le numéro 37 du mensuel conservateur L'Incorrect est arrivé en kiosque. On peut découvrir à l'intérieur trois dossiers, l'un consacré à la question du blasphème, l'autre au retour en grâce des villes moyennes et le dernier au rap, des entretiens avec Mathieu Bock-Côté ou Olivier Rey, et les rubriques habituelles "Politique", "Monde" "Essais", "Culture", "Envers et contre-cool" et "La fabrique du fabo"...

    Le sommaire complet est disponible ici.

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  • Les malades au service de l'agenda technologique ?...

    Le 13 novembre 2020, Pierre Bergerault recevait sur TV libertés Olivier Rey pour évoquer les réflexions que lui inspirent la crise du coronavirus et qu'il a exposées dans L'idolâtrie de la vie (Gallimard, 2020), un court essai publié dans la collection Tract. Mathématicien et philosophe, chercheur au CNRS et enseignant en faculté, Olivier Rey est notamment l'auteur de Une folle solitude - Le fantasme de l'homme auto-construit (Seuil, 2006), de Une question de taille (Stock, 2014), Quand le monde s'est fait nombre (Stock, 2016) et de Leurre et malheur du transhumanisme (Desclée de Brouwer, 2018), quatre essais consacrés à la question du progrès et de la technique dans nos sociétés.

     

                                             

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  • L'idolâtrie de la vie...

    Les éditions Gallimard viennent de publier un court essai d'Olivier Rey intitulé L'idolâtrie de la vie. Mathématicien et philosophe, chercheur au CNRS et enseignant en faculté, Olivier Rey est notamment l'auteur de Une folle solitude - Le fantasme de l'homme auto-construit (Seuil, 2006), de Une question de taille (Stock, 2014), Quand le monde s'est fait nombre (Stock, 2016) et de Leurre et malheur du transhumanisme (Desclée de Brouwer, 2018), quatre essais consacrés à la question du progrès et de la technique dans nos sociétés.

     

     

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    " En tant qu’il commande un respect absolu, le sacré se trouvait anciennement placé au dessus de la vie. C’est pourquoi il pouvait, le cas échéant, réclamer le sacrifice de celle-ci. Comment la vie nue en est-elle venue à prendre elle-même la place du sacré ? Au point que sa conservation, comme l’a montré la crise engendrée en 2020 par l’épidémie de coronavirus, semble bien être devenue le fondement ultime de la légitimité de nos gouvernements. Que cela apprend-il du rapport des populations à la politique, au pouvoir ? À quelles servitudes nous disposons-nous, si nous accordons à la « vie » la position suprême ? "

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  • Surpopulation : la menace !...

    Le nouveau numéro de la revue Éléments (n°184, juin 2020 - juillet 2020) est en kiosque !

    A côté du dossier consacré à la bande-dessinée, on retrouvera l'éditorial d'Alain de Benoist, les rubriques «Cartouches», «Le combat des idées» et «Panorama» , un choix d'articles variés et des entretiens, notamment avec les écrivains Benoït Duteurtre et Bruno Favrit, le journaliste américain Christopher Caldwell, le neurologue François Delussis et l'historien Georges Minois ainsi que les chroniques de Xavier Eman, d'Olivier François, de Laurent Schang, d'Hervé Juvin, de Ludovic Maubreuil, de Bruno Lafourcade, de Guillaume Travers, d'Yves Christen, de Bastien O'Danieli, de Slobodan Despot et de Jean-François Gautier...

    Bonne lecture !

    Vous pouvez commander ce numéro ou vous abonner sur le site de la revue : http://www.revue-elements.com.

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    Au sommaire :

    Éditorial

    Notes sur les débuts de l’ère covidienne, par Alain de Benoist

    L’entretien

    Benoît Duteurtre : du coté du « réac sympa » , propos recueillis par Thomas Hennetier

    Cartouches

    La littérature contre ce monde, le regard d’Olivier François

    Une fin du monde sans importance, par Xavier Eman

    Cinéphilie, pour une troisième voie, par Ludovic Maubreuil

    Carnet géopolitique : le grand renversement, par Hervé Juvin

    Champs de bataille : à Rastatt, sur la rive droite du Rhin (I), par Laurent Schang

    L’indigénisse, par Bruno Lafourcade

    Économie, par Guillaume Travers

    Bestiaire : quand des perroquets inventent le calcul des probabilités, par Yves Christen

    Sciences, par Bastien O’Danieli

    Le combat des idées

    L’imprévu dans l’économie : Onze questions sur la crise qui vient, par Guillaume Travers

    La santé n’est pas une politique, par Jean-François Gautier

    François Bousquet : biopolitique du coronavirus, par Pascal Esseyric

    Semmelweis, Céline, Raoult contre les mains sales, par Alain Lefebvre

    Docteur François Delussis : vingt-cinq jours aux urgences, propos recueillis par Pascal Eysseric

    Le coronavirus et les morts-vivants, par David L’Épée

    Laurent Schang : Von Rundstedt, le maréchal retrouvé, propos recueillis par François Bousquet

    Bruno Favrit : Nietzsche face à la paroi, propos recueillis par Pierre Saint-Servant

    Miyamoto Musashi, entre bushidô japonais et chevalerie française, par Laurent Schang

    Big Pharma, les nouveaux barons de la drogue, par Marie Chancel

    Christopher Caldwell : aux origines du politiquement correct, propos recueillis par Ethan Rundell

    Glucksmann, Enthoven, Cespedes : qui sont les nouveaux filousophes ? par David L’Épée

    Haro sur les putes intellectuelles, hommage à Jean-Pierre Voyer, par Paul Josias

    Au secours, Baverez revient ! L’éditocrate a lu Tocqueville, par Thomas Hennetier

    Guillaume Travers : la leçon d’économie médiévale, propos recueillis par Fabien Niezgoda

    Le polythéisme vu par Jean-François Gautier, par Thibaud Gibelin

    Dossier

    Surpopulation : le trop-plein

    Pour en finir avec les contre-vérités sur la démographie, par Fabien Niezgoda

    Peut-on être catholique et craindre la bombe P ? par Olivier Rey

    Georges Minois : l’obsession du surpeuplement dans l’histoire, propos recueillis par Fabien Niezgoda

    Le retour des malthusiens : instinct de survie ou pulsion de mort ?, par David L’Épée

    Panorama

    L’œil de Slobodan Despot

    Reconquête : la reconquête de l’espace, par Slobodan Despot

    Un païen dans l’Église : le pet du fou de Capestang, par Bernard Rio

    L’anti-manuel de philosophie : la pluralité des cultures et l’unité du genre humain, par Jean-François Gautier

    L’esprit des lieux : Derborence au solstice d’été, par Hélène Meyer

    C’était dans Éléments : les conquérants de l’inutile, par Pierre Vial

    Éphémérides

     

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